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Magazine Les Nouvelles

· DOSSIER

Des métiers très connectés

De nouveaux clients, une belle visibilité, des encouragements, un gain de temps et de productivité... La transition numérique est bénéfique à bien des égards pour les professionnels.


"Développer mes ventes ailleurs"
Franck Allais - Moka Café à Lorient

Moka Café est une boutique de thé, café et gourmandises sucrées dans le centre-ville de Lorient. Franck Allais a lancé son site web il y a un an. « J’ai aussi une page Facebook depuis trois ans. Ça me ramène un peu de monde, mais comme je suis tout seul en boutique, je manque de temps pour mettre en ligne de nouvelles informations ! Je souhaite continuer à me concentrer sur ma présence et ma disponibilité en magasin car c'est ce qui fidélise ma clientèle. Du coup, je profite de la présence de jeunes stagiaires car ils sont très connectés et abordent les choses naturellement. » Franck Allais compte aussi lancer son site marchand. Il a déjà commencé à réaliser de belles photos de produits. « Ça va être un super outil pour développer mes ventes ailleurs en France et même à l’étranger. »

"Sur Facebook les commentaires me boostent"
Jean-Pierre Joubin - La boucherie Joubin à Plouay

Depuis qu’il a découvert les réseaux sociaux, Jean-Pierre Joubin, boucher à Plouay, y passe 2 à 3 heures par jour ! En 2016, il remportait d’ailleurs le Trophée de l’innovation décerné par la CCI du Morbihan. Sur sa page Facebook, les « fans » peuvent suivre l’actualité de la boucherie. « Le mercredi, je fais une promo sur le steak haché que j’annonce sur ma page. Du coup, j'en vends beaucoup plus ! » Sur sa chaîne Youtube, il diffuse des vidéos qui récoltent de nombreux « like ». « C’est ma femme qui me filme en expliquant comment préparer et cuisiner telle pièce de boucher. Ça plaît beaucoup et ça élargit ma clientèle. » Les réactions positives des internautes sont source de motivation pour Jean-Pierre Joubin : « C’est encourageant ! Ça me booste et me donne envie d’aller de l’avant. » Le boucher connecté planche actuellement sur un jeu concours, pour faire grimper son audience.

"J'interviens auprès des petites entreprises"
Devrig Drouglazet - Assistant numérique

Devrig Drouglazet a créé son entreprise début 2018, après une dizaine d’années passées comme salarié dans le domaine de la maintenance informatique, et deux ans comme chef d’entreprise au Cambodge. Quand il s’est installé à Lorient, il a choisi de rejoindre la franchise MonAssistantNumerique.com. « J’accompagne les particuliers à domicile dans leur utilisation du numérique. J'étais récemment auprès d’une personne âgée pour la conseiller sur un achat de tablette et ensuite lui en expliquer le fonctionnement. J’interviens aussi auprès des petites entreprises, sur site, notamment pour l’installation d’outils collaboratifs comme par exemple un serveur partagé de stockage cloud… Je propose aussi des programmes de formation. Je fais également du conseil en communication digitale, pour créer soi-même son site web ou communiquer sur les réseaux sociaux. »

"20% de lait en plus"
Jean-Yves Tréhin - Eleveur à Caudan

Voilà plus de vingt ans que Jean-Yves Tréhin est éleveur à Caudan. Depuis 2009, il utilise un tracteur autoguidé pour effectuer ses semis, la pulvérisation et la fertilisation à base de compost. « Cela demande moins de concentration. Je reste quand même dans mon tracteur, mais tout est programmé grâce à la cartographie que l’on fait en amont et qui s’affiche sur mon ordinateur de bord. Cela évite les pertes de semences car la pose rectiligne est très précise. C’est également bénéfique pour l’environnement puisque c’est la juste dose qui est pulvérisée. » Il utilise aussi un robot de traite depuis 2010. « Les vaches vont se faire traire par la machine naturellement, sans intervention de l’Homme. Elles préfèrent ! Je suis au courant de tout ce qui se passe, grâce à mon smartphone relié au logiciel du robot de traite. On n’a plus à traire aux aurores, cela nous dégage du temps. Sans compter qu’avec ce système, nous collectons 20 % de lait en plus. »


E brezhonneg
Gant an niverel e fonnusa pep tra. N’eus ket ur vicher hag a achap doc’h ar c’hiz-se hag a zo daet da vout ur feson nevez da labourat kentoc’h. Ar micherioù klaselañ zoken (lenn hor poltredoù pajennoù 16 ha 17). En hon tolpad-kêrioù, ar c’henstrollad a Greisteiz Breizh, e anv Rouedad Niverel 165, en deus divizet bodiñ razh an obererion àr an domani-se evit sevel ur c’hinnig klok evit an dud a-vicher hag an dud prevez.

 

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